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| Valentine # j'ai crié ton nom, mais tu n'étais plus. | |
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Auteur | Message |
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| Sujet: Valentine # j'ai crié ton nom, mais tu n'étais plus. Sam 21 Jan - 23:21 | |
| LÜZ VALENTINE SÉRAPHINA DE CONTI Citation ici AGE | GROUPE | ORIGINE(S) | 27 ans. | Health & Discovery | Italiennes. | PÈLERINAGE | MÉTIER | STATUT | neuvième pèlerinage | Botaniste.. | Célibataire. | LISTS | | Personality Je suis un mélange de qui était ma jumelle et de qui je suis, je suppose. Parfois très sensible, parfois non. Parfois naïve, parfois manipulatrice. Parfois forte, parfois fragile. Parfois elle, parfois moi, au final. Je suis lunatique, je suis instable. Je peux être douce et la seconde d'après mordre -au sens littéral du terme, ein-. Comment me décrire alors que moi même je ne saurais me définir. Je suis le jour et la nuit en une seule personne, qui veut à tous prix voir son secret bien gardé. Je suis celle qui fait faux bon aux soldats pour aller voir un type qui fait parti des sixers, et celle qui pleure le soir dans son lit parce qu'elle se sent traitre. Je suis presque tout et son contraire, au même point que Gemma et moi étions différentes. |
Ce que je pense de...
TERRANOVA « C'est la meilleure chose qu'il me soit arrivé. Enfin un semblant de liberté - oui un semblant - avec un air pur et de grands espaces depuis lesquels on peut voir le ciel ! S'en est presque magique. Et puis, voir ces énormes animaux majestueux de près.. Impensable et pourtant si.. » | AN 2149 « Je tente de ne pas y penser. Je tente de ne pas penser à tous ces gens qui respirent encore cet air toxique. J'essaie de faire comme si ma vie d'avant n'était qu'un rêve, même si penser y parvenir n'est qu'une illusion. Je suis 85 millions d'années plus tôt, et j'y reste. » | SIXERS « Je ne sais pas quoi penser d'eux. D'un côté je sais qu'ils n'agissent pas dans un but noble, mais en même temps Tyler me montre une image plus positive. Pas des sixers, mais sa personne n'est pas particulièrement mauvaise. Je ne lui donne pas pour autant des informations qui pourraient compromettre la colonie, parce qu'elle est toute ma vie, maintenant.. Ou presque. » | COMMANDER KORDSMEIER « Il me fait un peu peur. J'ai l'impression qu'il maitrise tout et qu'il pourrait renvoyer n'importe qui s'il le voulait. J'ai même l'impression qu'il connait mon secret alors qu'il ne le devrait pas. » |
Ton Pseudo: Princess K. Ton Age: 19 ans. Ta star: Alexandra Chando. Double compte: Nope.
Où avez vous connu le forum ?: Mail de masse PRD.
Avez-vous lu le règlement ?: Oui (a) Et je dirais même que le commandant est trop rawr ! (a) Avez-vous un dernier mot ?: Vive TN o/
Dernière édition par L. Valentine S. De Conti le Jeu 26 Jan - 13:00, édité 7 fois |
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| Sujet: Re: Valentine # j'ai crié ton nom, mais tu n'étais plus. Sam 21 Jan - 23:21 | |
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HISTOIRE LIFE GOES ON. On n'était pas identiques, mais on se ressemblait beaucoup. Cependant, on ne se ressemblait que de l'extérieur, au fond nous étions complètement différentes. Elle était forte, impulsive, entêtée, sûr d'elle, intouchable. Elle était mon modèle, bien que je ne lui sois jamais arrivée à la cheville. Je n'ai même jamais prétendu pouvoir lui arriver à la cheville. Moi j'étais le contraire, et je le suis encore. Solitaire, lunatique, fragile, m'occupant toujours des autres plutôt que de moi, à vouloir faire bien mais faisant n'importe quoi la plupart du temps. J'étais la mise de côté, la bizarre que l'on ne regarde que pour avoir plus de choses mesquines à lui balancer. Celle qui évite de lever la tête de toute la journée pour éviter les regards. Celle qui a bien trop peur de ce monde qui l'entoure et qu'elle n'a pourtant jamais réussi à vraiment comprendre. Mais ça m'importait peu, parce que j'avais ma sœur avec moi, parce qu'elle prenait soin de moi et me protégeait.. Ce que mes parents n'ont jamais vraiment jugé utile de faire. Compréhensible pour des gens qui ne voulaient pas d'enfants et qui s'étaient retrouvés avec deux jumelles d'un coup sur les bras. Je leur en ai toujours voulu de nous laisser à notre propre sort la plus part du temps, de ne pas nous avoir désiré. Gemma disait toujours qu'au contraire, on avait de la chance car plein de libertés. Mais je savais qu'au fond, ça lui faisait mal aussi. Elle avait beau prétendre le contraire, elle était ma moitié, ma jumelle, et je savais quand elle mentait. Mais je ne disais rien, je la laissais faire, certainement parce que c'était plus facile de se référer à ça plutôt qu'être deux à nous apitoyer sur notre sort. Et puis il est arrivé un jour où je me suis retrouvée seule. J'avais quinze ans, je n'avais presque pas changé, et j'avais toujours besoin d'elle.. Mais elle est tombée malade. Ses poumons étaient attaqués par cet air irrespirable que nous connaissions tous. Apparemment, j'étais fragile émotionnellement et elle physiquement. Elle est morte cinq mois plus tard. Je suis restée enfermée dans ma chambre durant toute l'année suivante, excepté pour aller en cours comme un zombie. Je ne parlais plus, je ne mangeais plus assez. Mes parents ne s'en souciaient pas vraiment. Au final, peut-être que ma mort les aurait complètement soulagés de ce poids que nous étions. Je ne sais pas. Je ne sais même pas comment des parents peuvent être des monstres pareils. On dit que les parents sont protecteur, parfois trop.. Mes parents nous avaient vu comme des dépenses en plus. Notre monde, notre jolie planète bleue -plus si bleue que ça- tuait l'humanité à petit feu, faisant disparaitre l'instinct maternel ou paternel au profit du simple instinct de survie. Alors ils m'ont laissé, ils m'ont abandonné dans la pièce qui me servait de chambre.. Qui nous servait de chambre avant qu'elle ne disparaisse.
Au premier anniversaire de sa mort, pour la première fois, je l'ai entendue. Cette voix, sa voix. Cristalline, pleine d'espoir. Ma première sortie depuis sa disparition. Habituellement je ne sortais que pour suivre les cours. Personne ne tentait plus de me parler. J'avais réussi à former un vrai désert social autour de moi. J'avais réussi à même décourager ceux qui m'embêtaient avant. Plus rien n'avait de prise. Plus rien n'avait d'importance. J'apprenais mes leçons plus par automatisme qu'autre chose. Toute ma vie était passée sur pilote automatique, de toute façon. Je n'étais qu'un mort-vivant qui errait dans ses rues bondées à cause de la surpopulation. Je n'étais plus rien, juste comme des miettes éparpillées au sol. Mais cette fois là, alors que je sortais enfin pour autre chose que les cours, j'ai entendu cette voix, sa voix. Il faut que tu vives, soeurette. Que tu vives pour nous deux. J'avais sursauté, je m'étais retourné dans tous les sens en cherchant ma sœur du regard, pleine d'un espoir qui ne pouvait exister. Les gens ne ressuscites pas. Ca ne marche pas comme ça. Je suis avec toi pour toujours, maintenant, je serais toujours là. Alors j'ai compris. Compris qu'elle était dans ma tête. Je me suis aussi dit que j'étais folle, folle à lier.. Mais au fond, peu m'importait. Je l'ai vite accepté. Je ne serais plus jamais seule. Je savais que cette voix me guiderait, que ma sœur me guiderait. Je n'avais pas prévu qu'elle serait si présente, qu'elle serait si rebelle dans l'âme. J'ai fait ce que j'ai toujours rêvé de faire : botaniste. Je suis allée aux Etats-Unis, et j'ai bossé comme une dingue pendant des années. A part être botaniste, j'ai eu un autre rêve. Celui d'aller sur Terra Nova. Dés que cette brèche dans le temps à été communiquée, j'ai voulu y aller.. Et Gemma aussi. Elle plus que moi certainement. Un fois, elle m'a même poussé a tenter de passer clandestinement.. Je, nous, n'y sommes pas arrivées. On s'est fait choper juste au dernier moment. On a été si proche du but, et non, impossible de passer. J'ai eu à faire aux autorités. J'aurais du faire de la prison. Mais ils on été indulgents. Ils m'ont remit sur le droit chemin, j'ai du accomplir quelques travaux pour la communauté. En échange de leur indulgence, je redevenais l'étudiante modèle et continuais mes études pour devenir quelqu'un d'utile. Quand la loterie a été réinstaurée, j'ai essayé aussi, mais sans succès. Et puis.. Et puis vient ce trou noir. Un an sans aucun souvenir.
Elle a prit ma place. Gemma était devenu plus forte, je ne sais pas. Mais je n'avais qu'une vague conscience qu'il se passait des choses, mais au final, je n'en ai gardé aucun souvenir. Je suis revenue à moi même sur un sol dur. Lorsque j'ai ouvert les yeux, je voyais de gigantesques arbres et le ciel au travers de leurs branches. J'avais du mal à respirer, l'oxygène attaquait mes poumons. Je ne comprenais pas comment j'avais pu arriver là. Tu y es, tu es sûr Terra Nova, soeurette. J'ai mis quelques temps à comprendre que ce n'était pas qu'un simple rêve, qu'elle avait raison. En entrant dans la colonie, j'ai alors compris que oui, nous étions bien sur Terra Nova. Elle et moi, comme nous l'avions toujours rêvé. Je ne savais pas grâce à quel miracle j'avais atterri là, mais j'y étais. Et c'était le plus important. Elle et moi, sur Terra Nova, notre rêve enfin devenu réalité. Elle ne voulait pas me dire comment elle avait fait pour y arrivé, alors j'ai supposé que c'était parce que j'étais botaniste, parce que ça pourrait leur servir, que j'avais été choisit. J'ai ensuite appris que c'était bien ça. Mais je crois que je n'étais pas leur premier choix. J'ai la vague intuition que j'étais plus loin sur la liste d'attente et que Gemma à fait quelque chose pour accélérer mon arrivée sur Terra Nova. Mais je ne m'en inquiète pas plus que cela. Si elle avait vraiment quelque chose de grave, je ne serais pas là, c'est certain. Enfin, je crois.
Et puis tout a changé, en quelque sorte. J'avais toujours pensé que les Sixers étaient une bande d'enfoirés qui voulait tout foutre en l'air pour avoir plus d'influence, pour être riches. Mais au fond, peut-être pas. Pas tous. Je ne sais pas, je ne sais plus. Lors d'une expédition, accompagnée de deux militaires, Gemma voulait que l'on s'enfuit, ou qu'on soit un peu seules au moins. Vous voulez pas arrêter de nous coller aux basques ?! Vous n'avez qu'à surveiller les environs un peu plus loin ! Ce n'était pas moi, mais Gemma qui parlait. Ils m'ont regardé bizarrement, j'étais le genre de fille calme et discrète, pas vraiment ce qu'ils venaient de voir. Je me suis dit qu'il fallait vraiment que j'arrête avec ces sautes d'humeur. Ils se sont éloignés un peu, et au bout d'un moment ils ont arrêtés de m'observer en biais. Alors je me suis éloignée, poussée par Gemma. Explorer, au risque d tomber nez à nez avec un dinosaure carnivore peu amical. Mais ça ne la dérangeait pas, elle aimait le risque, l'adrénaline, tout ça. Par chance je n'ai rencontré aucun dinosaure peu amical, à ma place je me suis retrouvée avec un flingue pointé sur moi. Pas beaucoup plus amical, vous me l'accorderez. Ni l'homme qui tenait le flingue, ni moi n'avions l'intention de prendre la parole, apparemment. Gemma, comme toujours, savait quoi dire. Ou pas. Mais elle m'imposait quand même l'idée. Vous allez vous décider à me tirer dessus ou a baisser votre arme ? J'ai mal aux bras. Comme il ne se décidait pas, j'ai ajouté : Si j'avais voulu prévenir les deux mecs balaises qui m'accompagnent, j'aurais déjà crié depuis longtemps. Quoi de mieux qu'une évidence pour convaincre quelqu'un ? Raisonnement absurde, j'aurais pu avoir une idée farfelue dans la tête pour m'en tirer, comme dans les films. Mais non. Pas moi, j'suis pas une héroïne de film. Il a baissé son arme et j'ai baissé les bras. Alors comme ça, je rencontre enfin un membre des sixers, je suppose ? Mouais. Vous êtes pas si effrayant que ce qu'on nous pousse à croire.. Une ombre de sourire contenu est passé sur son visage. J'ai encore le flingue, tu devrais te méfier. Je souriais franchement. Cette situation ne me choquais presque pas. Je sentais qu'il ne me tirerais pas dessus. Il aurait pu m'embarquer, tenter de faire de moi un otage ou que sais-je encore, je n'étais pas chez les sixers et n'avait donc pas la moindre idée de ce qu'ils avaient en tête. Mais j'avais ce sentiment presque aveugle d'une confiance. C'était déroutant. Mademoiselle De Conti ?! Avec un haussement d'épaules et un sourire désolée, j'ai fait demi tour pour rejoindre mes gardiens. J'ai senti son regard posé sur moi jusqu'à qu'il ne puisse plus me voir.
J'avouerais juste une chose : il m'a hanté. J'ai rêvé de lui ! Ca devenait plus grave que prévu. Mais je ne sais pas, quelque chose dans son regard, dans sa retenue.. Il avait l'air tellement maitre de lui, tout le contraire de moi. Je ne l'ai revu que six mois plus tard. Pourtant pas faute d'essayer. Je retournais régulièrement au même endroit que la première fois, mais je ne l'ai jamais revu. Il faut dire que je n'ai pas toujours réussi à faire faux bon à mes amis militaires. Certains me suivaient comme mon ombre, d'autres étaient moins vigilants. Cette fois là, j'avais des pots de colle, et je désespérais m'en débarrasser.. Mais mon ami le destin est intervenu et nous a pondu un dinosaure carnivore peu sympathique. Pas très grand, mais sacrément méchant. J'ai couru, trébuché, me suis ouvert le côté droit sur un rocher. Blessure superficielle, mais ça n'empêchait pas la douleur d'être bien présente. Par chance, il s'est attaqué aux deux gros bras. Ils ont tirés, l'un d'eux et mort, l'autre et rentré au campement. J'ai pris la direction opposée. Gemma voulait que je prenne la direction opposée. Je l'ai fait parce que je le voulais aussi. Au fond, j'aimais un peu l'aventure aussi, même si ça me fichait les jetons. En rentrant au campement je n'aurais aucune chance de revoir ce type mystérieux. Au bout d'un moment, n'entendant plus rien, je me suis autorisée une pause. Je me suis appuyée contre un tronc et pliée en deux en grimaçant. Je suppose que quelques soins ne te feraient pas de mal. Je relevais brusquement la tête. Lui. Tu as un très bon instinct de survie, et tu cours vite. J'ai mis un peu de temps à te retrouver. Un cri a rententi. Pas vraiment très loin, c'était mauvais signe. Suis-moi, il y a un crique toute proche d'ici, on sera a l'abris.. J'hésitais. Je n'étais plus vraiment sûre de vouloir aller dans cette direction. C'est pas difficile. Moi ou la machine à tuer affamée ? Comme je l'ai déjà dit, une évidence est le meilleur des arguments. Je n'étais pas capable de me débrouiller seule. Lui savait quoi faire, il avait l'habitude. J'ai soupiré et je l'ai suivit. Gemma en était plus qu'heureuse. Moi aussi, quelque part, mais je ne voulais pas me l'avouer si facilement. Quelques minutes plus tard, nous étions dans une petite grotte, peu profonde, mais assez spacieuse pour accueillir deux personnes, pas plus. Je retirais mon petit sac à dos de mes épaules et je sorti la trousse de secours. Il me l'a prit des mains sans demander la permission. Je sais me débrouiller seule ! Je n'en doute pas, soulève ton chemisier. Sortie de son contexte, cette phrase aurait pu passer pour autre chose. Nous étions forcés d'être proches l'un de l'autre, aussi me soigner ne fut pas tâche facile. Après avoir pansé la blessure, il m'a donné un antidouleur. Tu ne vas pas mourir, c'est bon à savoir. Après uns silence lourd, j'ai décidé de le rompre. Qu'est ce que tu faisais dans les environs ? Il a répliqué sans une hésitation. Qu'est ce que tu faisais à cet endroit précis ? Je n'ai pas répondu. Ce n'était pas la première fois que tu y revenais, régulièrement il y avait des traces plus récentes. Tu y es retourné combien de fois pour affirmer ça ?
Une semaine. Cette escapade a duré une semaine. Je crois qu'aucun de nous ne voulais partir, pourtant, il ne se passait rien de précis. Vouloir être ensemble et avoir peur de le faire. Quelque chose comme ça, je suppose. Au bout d'une semaine, il s'est décidé. Chacun doit retourné chez lui. Et puis, ta plaie s'est un peu infectée, il te faut de meilleurs soins. Toujours cette retenue que je détestais ! Je voulais tellement qu'il tente quelque chose, qu'il m'embrasse, qu'il fasse quelque chose. Pathétique. J'étais pire que ces gamines dans les bouquins de science fiction ou de fantastique. Il remballait nos affaires. Nous sommes sortis du petit espace, et je l'ai suivit en silence. Moins d'une heure plus tard nous étions tous proches de la colonie. Au revoir. J'ai rit, c'était nerveux. Tu te fous de moi ?! Au revoir ? C'est tout ?! Qu'est-ce que tu veux d'autre ? Je serrais des mâchoires. Gemma a prit la situation en main. Que tu m'embrasses. Il n'a pas bougé. Pas tout de suite. J'ai cru qu'il allait simplement me tourner le dos et partir. Mais non. Il a franchit le pas qui nous séparait et m'a embrassé. Comme jamais personne ne m'avait embrassé. Et puis il m'a chuchoté quelque chose à l'oreille. Je te déteste. J'ai souris, il est parti. Je savais que ces mots voulaient dire autre chose que ce qu'il semblait. J'avais réussi à briser la carapace, à lui faire perdre le contrôle. De retour à la colonie j'ai été soigné, j'ai expliqué que j'avais eu peur que le carnator soit encore dans les parages et que je m'étais réfugiée dans le premier endroit que j'ai trouvé, me nourrissant avec quelques fruits que j'avais trouvé. En réalité, Tyler les avait trouvé. Mais ils ont crus à mon histoire, je crois. Il ne me restait plus qu'à retourner là où nous nous étions rencontré, encore, pour laisser un mot. J'avais découvert un endroit où nous pouvions sortir. Je lui avait donné rendez-vous. On s'est revus trois fois depuis. Ca fait maintenant un mois. La dernière fois qu'on s'était donné rendez-vous, il n'était jamais venu. Ce devait être deux semaines plus tôt. Et je passais maintenant mon temps à m'inquiéter pour lui sans pouvoir en parler à personne.
Dernière édition par L. Valentine S. De Conti le Jeu 26 Jan - 18:54, édité 16 fois |
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| Sujet: Re: Valentine # j'ai crié ton nom, mais tu n'étais plus. Dim 22 Jan - 0:53 | |
| Yep ben bienvenue "officiellement" Amuse-toi bien avec ta fiche |
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| Sujet: Re: Valentine # j'ai crié ton nom, mais tu n'étais plus. Dim 22 Jan - 1:03 | |
| Bon choix d'avatar ! Bienvenue et bonne chance. |
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| Sujet: Re: Valentine # j'ai crié ton nom, mais tu n'étais plus. Dim 22 Jan - 7:44 | |
| Bienvenue Bonne chance pour ta fichounette |
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| Sujet: Re: Valentine # j'ai crié ton nom, mais tu n'étais plus. Dim 22 Jan - 8:58 | |
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| | | POWERFUL ADMIN ϟ The God of Terra Nova
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| Sujet: Re: Valentine # j'ai crié ton nom, mais tu n'étais plus. Dim 22 Jan - 9:03 | |
| Bienvenue officiellement Et puis, bon choix d'avatar, vraiment. Bon courage pour ta fiche et comme je te l'ai dis, si tu as la moindre question, le staff est la pour y répondre |
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| Sujet: Re: Valentine # j'ai crié ton nom, mais tu n'étais plus. Dim 22 Jan - 9:51 | |
| Oh elle est toute choupi BIENVENUE |
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| Sujet: Re: Valentine # j'ai crié ton nom, mais tu n'étais plus. Dim 22 Jan - 11:08 | |
| Bienvenueeee |
| | | POWERFUL ADMIN ϟ The God of Terra Nova
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| Sujet: Re: Valentine # j'ai crié ton nom, mais tu n'étais plus. Dim 22 Jan - 11:54 | |
| Haha, on t'attendait, te voila. J'ai vraiment hâte de lire ta fiche. Puis je ne sais pas si je t'ai souhaité déja la bienvenue à l'avance, mais (re)bienvenue Bon courage pour rédiger ta fiche ^^ |
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| Sujet: Re: Valentine # j'ai crié ton nom, mais tu n'étais plus. Dim 22 Jan - 12:24 | |
| BIENVENUE !!! |
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| Sujet: Re: Valentine # j'ai crié ton nom, mais tu n'étais plus. Dim 22 Jan - 12:47 | |
| Bonjour et bienvenue amie schizophrène ! Je sens qu'on va bien s'entendre tout les quatre, Harvey t'aime déjà beaucoup x)
Enfin bref, bon courage pour ta fiche ! |
| | | POWERFUL ADMIN ϟ The God of Terra Nova
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| Sujet: Re: Valentine # j'ai crié ton nom, mais tu n'étais plus. Dim 22 Jan - 14:04 | |
| Bienvenue sur le forum! *O* Bon courage pour ta fiche et amuse toi bien à la faire. J'aime beaucoup l'actrice que tu as prise. Elle a un air de Nina Dobrev. |
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| Sujet: Re: Valentine # j'ai crié ton nom, mais tu n'étais plus. Dim 22 Jan - 14:26 | |
| Ah bah là tu m'étonnes, avec un point commun pareil on ne peut pas passer à côté d'un lien ! XD |
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| Sujet: Re: Valentine # j'ai crié ton nom, mais tu n'étais plus. Dim 22 Jan - 14:43 | |
| Bienvenue ici |
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| Sujet: Re: Valentine # j'ai crié ton nom, mais tu n'étais plus. Dim 22 Jan - 21:17 | |
| Mercii
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| Sujet: Re: Valentine # j'ai crié ton nom, mais tu n'étais plus. Lun 23 Jan - 23:31 | |
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| Sujet: Re: Valentine # j'ai crié ton nom, mais tu n'étais plus. Mar 24 Jan - 15:36 | |
| Botaniste, j'irais te harceler sur ta fiche de lien me too |
| | | POWERFUL ADMIN ϟ The God of Terra Nova
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OCCUPATION : Professeur de français, histoire de Terra Nova
| Sujet: Re: Valentine # j'ai crié ton nom, mais tu n'étais plus. Jeu 26 Jan - 18:17 | |
| Bonsoir, alors j'ai regardé ta fiche. Il faut dire qu'il y a une chose qui me dérange : tu as écrit que ta perso avait tenté de passer 4 fois clandestinement ... alors à moins d'avoir des pouvoirs magiques, faudrait que tu m'expliques un peu comment est-ce possible de ne pas avoir fait affaire aux autorités en 2149 et de ne pas avoir été emmené en prison. C'est un gros délit quand même, ce n'est pas rien d'essayer de passer clandestinement et en plus 4 fois. Tu vois ce que je veux dire ? Voila, c'est simplement ce détail là qui me laisse un peu perplexe avant de te valider |
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| Sujet: Re: Valentine # j'ai crié ton nom, mais tu n'étais plus. Jeu 26 Jan - 18:35 | |
| N'ayant pas vu la série, je n'étais pas sure que ceux qui tentaient de passer allaient prison xD Mais je peux changer ça.. Est-ce que si je met qu'elle était une étudiante brillante, sans antécédent et qu'elle aurait essayé de passer une fois et on lui aurait proposé de faire un pacte ? Elle ne tentait plus, et reprenait ses études pour devenir botaniste ? :s ils lui auraient vraiment fichu la trouille et elle n'aurait pas re-tenté..
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| | | POWERFUL ADMIN ϟ The God of Terra Nova
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| Sujet: Re: Valentine # j'ai crié ton nom, mais tu n'étais plus. Jeu 26 Jan - 18:43 | |
| Alors ça me semble être une bonne idée en effet ... Une sorte de travail forcé en somme ? |
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| Sujet: Re: Valentine # j'ai crié ton nom, mais tu n'étais plus. Jeu 26 Jan - 18:47 | |
| Oui (: C'est ça, je vais changer ça alors, Parce que j'ai hâte de jouer (a)
Et j'ai commencé à regardé la série, après avoir terminé mon histoire, alors promis, je n'écrirais plus n'importe quoi (a( xD
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| | | POWERFUL ADMIN ϟ The God of Terra Nova
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| Sujet: Re: Valentine # j'ai crié ton nom, mais tu n'étais plus. Jeu 26 Jan - 18:49 | |
| Ce n'est pas grave, tu es déjà pardonnée |
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| Sujet: Re: Valentine # j'ai crié ton nom, mais tu n'étais plus. Jeu 26 Jan - 18:55 | |
| Oh, merci
J'ai modifié, j'espère que c'est bon maintenant o/ ('x
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| Sujet: Re: Valentine # j'ai crié ton nom, mais tu n'étais plus. | |
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| | | | Valentine # j'ai crié ton nom, mais tu n'étais plus. | |
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