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| Jade Sulliman... Johnette Doe | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: Jade Sulliman... Johnette Doe Dim 16 Déc - 0:24 | |
| Jade Sulliman "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien" Socrate AGE | GROUPE | ORIGINE | 23 (estimé) | Fight & Rebllion | Amériquaine | PÈLERINAGE | MÉTIER | STATUT | 8e | Soldat ? | Célibataire | LISTS | | Personality .Jade n’est ni une dure à cuire, ni une soumise. Elle ne cherche pas à jouer à un jeu. Elle ne se soucis pas du regard des autres…enfin si, un peu quand même. En fait, Jade ne sait pas se situer. Elle donne une sensation étrange aux gens. Jade est discrète et calme. Elle est obéissante et sait résoudre un problème s’il en survient un. Mais elle ne cherche pas à jouer les meneuses. Elle n’est entreprenante que lorsque cela est nécessaire pour sa mission. Les seules fois où elle désobéit sont pour sauver la vie d’un homme. C’est son défaut peut être…elle ne tue que pour se défendre. Sauf qu’elle est obligé de le cacher car elle a besoin de rester parmi les sixers. Ca fait partie de son contrat. A force, elle a développé certaines stratégies psychologiques. Elle sait prendre sur elle et abattre froidement quelqu’un si on lui demande et qu’un de ses chefs ou compagnon est prés d’elle. La facilité avec laquelle elle abat une personne, sans colère, sans haine ou mépris, juste un visage dénué d’expression si ce n’est parfois, une brève pitié, est une caractéristique qui rend mal à l’aise les gens qui la connaissent un peu. Car à côté, elle peut se montrer sympathique, voir douce. Elle ne parle pas beaucoup et très peu d’elle. Juste qu’elle a été chanteuse animatrice d’un bar. C’est d’ailleurs à travers ses quelques chansons, quand on lui demande ou que personne ne l’entend, qu’on peut la voir vivre. Ses chansons, et sa capacité à reproduire le paysage et les gens en « un coup de pinceau ». Cela fait d’elle, un très bon éclaireur qui sait synthétiser et donner les informations croustillantes.
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Ce que je pense de...
TERRANOVA Je l'ai toujours connue comme étant mes adversaires. | AN 2149 C'est une vie qui me rappelle à l'ordre mais que je fuis également. Ici, je sais qui je suis. J'ai une véritable identité | SIXERS Ce sont presque les premières personnes que j'ai vu à mon arrivée dans ce nouveau monde. L’accueil a été distant mais j'ai su m'y faire et me faire acceptée. Ils sont également tout ce qui me permettra de savoir d'où je viens et qui je suis | COMMANDER KORDSMEIER Je n'ai pas vraiment d'avis, hormis que c'est notre adversaire. Mais ce n'est pas à proprement parlé mon ennemi. |
Ton Pseudo: Sol Ton Age: 19 Ta star: Elizabeth Olsen Double compte: ici
Où avez vous connu le forum ?: Internet
Quel est le code du règlement ?: Validé par Natalya Avez-vous un dernier mot ?: Rien à déclarer m'sieur
HISTOIRE TITRE Bonjour. Je m’appelle Jade Sulliman. Enfin c’est comme cela que tout le monde m’appelle ici…en je e sais combien d’années avant Jésus Christ, avant même Adam et Eve. En fait, c’est pour ainsi dire le véritable seul nom que j’ai eu… L’autre n’en était pas un. Pas vraiment. Et il me fait sentir si différente. Si étrangère… Il me rappelle tellement ce que je suis…au fond. Ce que je suis ? Une énigme ! Pour tout vous dire, je n’existe pas…pas vraiment. C’est d’ailleurs pour ça qu’ils n’ont eu aucun mal à me faire entrer avec les Sixers. M’inventer une identité toute neuve a presque été un jeu d’enfant. Ce qui, dans un sens, n’est pas très réconfortant pour moi… Mais tout ça est loin maintenant, parce qu’ici, parmi eux, je sais que j’ai une place…et une identité. Excusez moi, je me rends compte que cela peut vous paraitre incompréhensible. Laissez moi vous expliquez.
[i][center]Origines :
Je suis née entre 2125 et 2128 à peu prés au mois de Septembre d’après le doc’. C’est formidable pour cela leurs petites machines ! Malheureusement elles ne peuvent qu’estimer mon âge à partir de ma physionomie.
Je n’ai aucun souvenir de mes parents. Je n’ai aucun souvenir d’une famille ou même d’amis depuis ce 24 Avril 2146.
Personne ne semble avoir de souvenir de moi d’ailleurs. C’est peut être ca le plus désolant. Personne ne me cherche. A ma connaissance, personne ne m’a signalé disparue. Les seules mères que j’ai connues ont été Sacha Guevara et Maria Franscesca. Maria Fransceca était une militaire, un soldat qui rentrait lorsqu’elle m’a trouvé, au milieu de la route, errante comme un fantôme. Pardonnez ma confusion, mes souvenirs sont encore vague. Je n’avais pas encore conscience de l’état dans lequel j’étais. J’avais à peine conscience du monde dans lequel j’étais à vrai dire. Ma vision était embrouillée, ensanglantée même… Mes poumons me faisaient encore mal et je sentais que j’étais faible. Je venais de fuir et j’avais couru des kilomètres et des kilomètres habillée en espèce de tenue infirmier. J’avais peur. J’avais vu quelque chose qui m’avait fais me sentir en danger…mais lorsque je vis Maria, je l’avais déjà oublié. Aujourd’hui, quand j’y repense, je sais que Maria savait elle. Oh elle ne savait pas précisément qui j’étais, mais en bon soldat entrainée, elle savait reconnaitre une situation étrange et lorsque l’armée y était mêlée. Elle en avait vu des choses ! Et elle avait apprit à se méfier de ce qui semblait rationnel ou non avec les scientifiques, me dit elle un jour, en évoquant une guerre qui datait d’à peine 8 ans mais qui était fraiche dans sa tête. Maria m’emmena dans sa voiture au pas de course, sortant son arme comme si il avait s’agit d’évacuer un espion ou un otage d’une force ennemi. Elle me dit de m’allonger par terre et de ne pas bouger, de nombreuses fois. Je me souviens de son regard et du grigri étrange qui pendait à son rétroviseur. De temps en temps, elle me souriait, se voulant rassurante. Mais son visage était plein de compassion, de pitié et de peur. Je lui rappelais de mauvais souvenirs.
J’ai vécue avec Maria environ deux semaines. Elle ne possédait pas une maison de luxe mais elle avait au moins l’avantage d’être sous un dôme. Cela pour ses nombreux services rendus à son pays. Ca et le fait qu’elle n’avait pas encore prise sa retraite et qu’elle n’arrêtait de se faire soudoyer par une organisation secrète et privée qu’elle qualifiait de « sac à merde sans couille ». Malgré son mépris, je vis que Maria avait peur de ces personnes et qu’elles avaient le pouvoir sur elle, par un moyen que j’ignorais.
Maria s’est occupée de moi comme une mère ou une grande sœur. Je ne savais pas faire grand-chose, c’est le moins qu’on puisse dire. Je savais à peine tenir une fourchette et le gout des aliments me fit vomir. Il lui fallut m’apprendre à mâcher après avoir coupé mes aliments en tout petits morceaux pour que je ne les avale pas trop gros et que je ne m’étouffe pas. Elle m’a lavé et a été obligé de se réduire à m’apprendre à aller aux toilettes ! Oui, j’avais le niveau de développement d’un nourrisson. Mais j’avais également une très bonne mémoire…
Dans le fond, c’est assez ironique… Mais reprenons.
Je suppose que c’est pour cette raison que j’ai su courir et marcher. D’après mes blessures, Maria estimait que j’avais dû ramper et m’enfuir, poursuivie. Je m’étais prise une balle dans le bras, et deux dans la cuisse. C’était incroyable que j’y sois malgré tout arrivée, disait elle.
Les médecins et le psy qui les accompagnaient, ont estimés quant à eux que j’avais simplement du subir un traumatisme qui avait provoqué une amnésie partielle…du moins pour mes facultés motrices. Mon cas leur semblait étrange et contredisait tous leurs tests. Un jour je semblais présenter un retard mental profond, le lendemain léger... Paniquée par leurs questions sur la durée de mes symptômes, Maria acquiesçait et disait que cela durait depuis un an. En d’autre terme, je présentais un handicap important depuis un an et pouf en une semaine je progressais à une vitesse hallucinante…voyez le souci ?
Mais si Maria ne disait pas la vérité, c’est parce qu’elle supposait que quelqu’un me recherchait. Et pas nécessairement une bonne gentille famille bien intentionnée. Mr Skinner, un psy, me dira par la suite que Maria avait subi un violent choc dans cette guerre en 2138 qui avait déclenché une légère paranoïa qui n’était pas pathologique mais qui devait être surveillée. J’admets qu’elle était un peu trop prudente, mais j’avais lu un bouquin d’un psy qui disait que les paranos peuvent observés beaucoup de chose même s’ils l’interprètent de façon erroné.
Maria à finalement craqué et avoué à Monsieur Skinner qu’elle ne me connaissait que depuis dix jours. Le lendemain, monsieur Skinner se renseigna. Le surlendemain, il était retrouvé mort dans d’étranges circonstances.
Quand elle l’apprit, Maria fit ses valises et m’emmena dans la voiture. « Vite ! » hurlait-elle, « Allez grouille toi ! ». N’étant pas tout à fait sortit de mon mutisme, j’inclinais la tête et la regarda en fronçant des yeux, comme un chien surprit. Maria m’agrippa et me balança presque dans la voiture avant de revenir vers la portière en me disant « Ne t’inquiète pas. Je ne laisserai personne te faire du mal. »
Elle roula vite, sans cesse apeurée comme lorsqu’elle m’avait trouvé. Plus vite à un moment. Me regarda souvent. Murmurait des « salopard » avant d’être percutée par une voiture noire très classe. Plusieurs hommes et femmes, bien habillés, et le visage durs, s’avancèrent vers la voiture. Ils avaient des armes en mains. J’étais paniquée. Pas seulement parce que je venais de perdre ma seule mère. Pas seulement parce que j’avais peur de ces hommes. Mais parce qu’ils avaient des armes. Et ces armes me firent mal à la tête. Je ne savais plus où était la réalité ou non. Comme en plein délire, des flash apparaissaient…si on peut dire. Je me souvenais de la sensation. Du bruit. J’avais déjà eu affaire aux armes.
Je suis sortie de la voiture, après avoir extirpée l’arme de Maria de sa main à la limite tiède. Les hommes m’ont dit quelque chose que je n’ai pas compris. Mon sang bouillait. L’un d’eux tira vers moi, sans doute pour me faire peur car il tira à côté. Une femme lui commanda de ne pas m’abattre. Mais moi, je n’étais pas sous ses ordres. J’ai tiré. Un coup. Puis deux. Deux coups, deux corps… et cela ne me surprit même pas. J’étais à moitié dehors, à moitié dans un couloir sombre. Les trois autres qui restaient tirèrent vers moi. J’abattis deux d’entre eux en pleine poitrine. La femme téléphona paniquée. Estimant n’être pas en danger, je me suis mise à courir. Mais quand je l’ai entendu me hurler dessus et me menacer…je me suis défendue. Une balle entre les deux yeux.
Chicago :
L’air n’était pas très fraiche, c’était le moins qu’on puisse dire. Mais je m’en fichais. Je n’étais pas attristée à la vue de cette terre rouge, asphyxiée et dénuée de végétations. Ni par les nuages. En fait…j’aimais plutôt ces couleurs. De la Terre, je ne connaissais que ça. Si j’avais eu une enfance, je ne m’en souvenais pas. J’ai courus parce que c’est ce que m’avais apprit Maria. Ca et d’autres techniques. D’autres tactiques. Mais courir une arme à la main, alors que des espèces de machines policières survole le ciel prés d’une grande ville n’est pas une très bonne idée. Encore moins lorsqu’au bout de cette route, gisait cinq cadavres et que je ne m’arrêtais pas malgré les appels.
Je n’avais pas conscience de ce que signifiait paraitre suspect ou autres trucs comme ça de la loi. Pour moi, c’était simplement des dangers de plus. Alors je courrais, je courais. J’étais même prête à tirer s’il le fallait…encore. Mais ils m’ont finalement encerclé. Ils se sont jetés sur moi, comme des félins. Ils me criaient dessus. Je me suis battue avec les techniques enseignées par Maria. D’abord surpris, ils m’ont vite dominé et coffré.
Gardée en observation, j’ai pus apprendre beaucoup de choses. Mais je ne parlais pas. Un mec un peu saoul, qui portait un masque étrange, n’a pas arrêté de me parler. Il faut dire que j’intriguais tous ceux qui m’entouraient par mon attitude détachée par rapport à l’atmosphère. Je ne faisais pas de provocation. J’avais simplement l’air ignorante….ou suicidaire. C’est finalement un flic qui m’a forcé à en porter un. Il avait deux gosses. Deux ados à qui je devais lui faire penser. Lui et mon voisin, me complimentèrent sur mon tatouage dans la nuque et me demandèrent ce qu’il signifiait. Il était simple, discret mais énigmatique. Aussi bien pour eux que pour moi. Mais c’était déjà une piste. Une fausse piste. Je n’ai jamais trouvé ce qu’il signifiait et Colan, un tatoueur de renommé, me dit que c’était presque comme si on avait superposé tout un tas de symboles qui prenaient la forme d’un oiseau. Il a ajouté que je devais avoir fumé de la bonne ce jour là pour demander à faire un truc pareil !
Les interrogatoires n’ont jamais rien donné. Un moment j’ai été soupçonné du meurtre…mais deux ou trois flics m’ont soutenu. Ils avaient compris je crois, mais ils avaient quelque chose qui les obligèrent à clore l’affaire. Deux d’entre eux étaient révoltés mais si l’un me regardait comme un démon, l’autre me voyait plutôt comme une victime.
Dés que j’en ai eu l’occasion, je me suis enfuie. Encore. Et j’ai rencontré Sacha Guevara. Sacha Guevara était une artiste. Elle était de passage à Chicago pour une exposition. J’étais essoufflée, épuisée mais j’avais de moins en moins peur. Si être poursuivie me faisait de moins en moins peur, c’est qu’une autre crainte prit le relais ; ces situations me rappelaient des choses. J’avais des cauchemars de plus en plus précis et effrayant. Mais ils ne m’indiquaient pas grand choses. Je suis allé de squatte en squatte, me déplaçant à chaque fois que j’apercevais une voiture de police. Petit à petit, la rue et les problèmes de l’extérieur du dôme m’ont rattrapés. J’avais une quinte de toux de plus en plus violente et je me suis évanouie au sol. Heureusement, je n’étais pas loin d’un lieu de jeux d’enfants qui m’ont récupérés et m’ont passé un de leurs masque. Ils m’apprirent quelques détails de plus dont certaines chansons…et j’ai été forcé de les quitter. Un jour, j’ai failli me faire rattraper par les flics mais une voiture noire les en a empêcher. Pas pour mon bien évidemment ! Je me rappellerai toujours ce moment parce que c’est là que j’ai vu le même symbole que mon tatouage sur la pochette des deux hommes. Le flic qui m’avait cru victime s’interposa. Je profitai de cette dispute pour m’enfuir.
Je me suis faufilée dans la foule presque instinctivement…et je suis arrivée dans cette exposition. La faim m’a vite rattrapée et la soif. J’évitais les caméras (je l’avais apprit en observation) et je me servais au passage. Lorsque la sécurité à voulu m’arrêter, je me suis de nouveau enfuie. Oui, fuir est en d’autre terme l’histoire de ma vie. Et là, j’ai rencontré Sacha. Une drôle de rencontre on pourrait dire. J’étais cachée dans les Restroom ; après quelques heures, ils s’en iraient probablement et je n’aurais plus qu’à m’en aller moi aussi. Mais quand je suis sortie, j’ai fais face à une femme d’une petite quarantaine, les cheveux bouclés roux et habillée en mode hippie mixé à la mode de 2146. J’appris plus tard que Sacha était une passionnée du 20e siècle et particulièrement les années 1970’ et son mouvement hippie. Elle rêvait de s’installer à San Franscico…elle n’a jamais pus.
Nous voilà face à face, l’une les mains tendues mais le visage tendre, déstressé, illuminé par un grand sourire. L’autre sur le qui vive, les cheveux en pétard et sale, les yeux révolver et pointant une arme devant son adversaire, prêt à tirer au moindre geste suspect. Je n’oublierai jamais ce moment. Dés qu’elle sentie avoir ma confiance, elle tira une cigarette xyphon et me la tendit en disant « Zen. Détends toi mon chou. Prends ça, ca va t’aider. Tous tes soucis s’envoleront tu verras… ».
Los Angeles :
Sacha me ramena chez elle, à Los Angeles, dés lors qu’elle comprit que j’étais seule et désemparée. Peu importe qui j’étais. Peu importe si je l’avais attaqué avec une arme….elle serait peut être encore en train d’exposer ses œuvres aujourd’hui si elle m’avait laissé là. Los Angeles, avec sa terre rouge et son océan qui avait reculé à des kilomètres. Sur la colline, on pouvait encore voir les vieilles lettres d’Hollywood ou Hollywood land, dernière trace de ce qui avait représenté le paradis du show bizz et le symbole du cinéma et du rêve. Il n’était plus aujourd’hui qu’une ruine et le symbole d’une époque révolue. Aujourd’hui le rêve, c’était à Hope Plaza, le lieu de départ pour Terra Nova. Cela je ne le savais pas encore…
Cette ville m’est apparue comme une gigantesque pieuvre s’étalant sur plus de 150 km de diamètre. « Quand mon arrière grand-mère s’y est installée en 2013, elle ne faisait que 80 km de diamètre » me disait Sacha « L’Homme est paradoxale mon chou, n’oublies jamais ça, c’est le seul à être capable de couper des arbres et d’y écrire « sauvons la planète » ». Elle eut un rictus ironique et tourna la tête de droite à gauche « On nous bassine de slogans et de solutions, on fait des manifestations pour la loterie, tout ca pourquoi ? Pour continuer à vivre notre vie en agrandissant nos villes. C’est tous des connards si tu veux mon avis. On est tous des connards en fait. Mais il faut être compatissante mon chou, l’Homme n’est pas méchant, c’est un crétin c’est tout. Et peu importe les efforts qu’il fera, tant qu’il se croira au centre du monde, rien ne changera. ». Je sais ce que vous pensez. Mais malgré ses paroles, Sacha n’a jamais cesser d’espérer .
Sacha avait un mari, Max. Ils avaient eu un enfant il y a des années. Mais il était mort dans un accident. C’était le troisième enfant de Sacha et le premier de Max. Le premier enfant de Sacha se nommait Kyle et le second, son jumeau, Logan. Kyle a disparut à la guerre. Quant à Logan, son corps a été ramené. Elle était jeune quand elle avait eu ces enfants, à peine 15 ans, et ils n’étaient pas vraiment le fruit d’un bon souvenir. Mais leur perte à détruit sa vie. La mort de la petite Sophia à achever Sacha. Son sourire n’était qu’apparent. Je voyais sa détresse dans ses œuvres qui étaient, paradoxalement, devenue célèbres à cause de sa profondeur triste.
Max et Sacha m’enseignèrent beaucoup de choses. Ils m’élevèrent pendant presque un an comme leurs propres fille. Mais rapidement, ils se posèrent des questions à mon sujet. Max était assistant social et il entreprit de faire des recherches à mon sujet. Si je faisais partit de la famille, j’avais, selon eux, le droit de savoir qui j’étais. C’est là qu’à commencer le calvaire.
Au lycée où j’étais, j’apprenais vite mais là où j’étais douée, c’était dans le sport, à la course ou au combat et en art. J’appris à faire du piano et de la guitare et un groupe m’accueillit dans en tant que chanteuse. L’Histoire m’intéressait également. Sacha m’apprit l’art comme dans l’ancien temps. « C’est la base » disait-elle « si tu sais dessiner sur du papier, alors tu ne pourras que l’embellir avec les hologrammes ». Le papier était rare et cher, mais c’était avec cela qu’elle travaillait. C’était cela la clef de sa réussite. Elle n’en consommait que très peu, de grandes feuilles qu’elle utilisait jusqu’au plus petit espace. Elle m’apprit également les chanteurs du 20e siècle et du 21e siècle. Ceux que lui avait légués sa grand-mère qui le tenait elle-même de son arrière grand-mère.
Ils fixèrent une date au 16 Septembre 2126 comme date d’anniversaire, parce que je devais savoir ce qu’était un anniversaire. Et j’appris également la magie de Noel. Même s’il ne neigeait pas. Même si nous n’avions pas de sapin, et en guise de cadeau un masque et une orange. Mais c’était autre chose. C’était les souvenirs, la réunion, le fait d’offrir, le fait d’attendre une bonne surprise que quelqu’un a préparé pour nous, c’était cet hologramme de sapin entouré de chanson. C’était aussi la préparation. Avec une partie de l’argent de ses œuvres, Sacha achetait des « cadeaux » et les revendait aux gens dans la rue. Elle s’occupait aussi d’enfants. Un jour, j’appris que Sacha avait gagné ticket de loterie pour Terra Nova. Mais elle ne l’avait jamais utilisé. Premièrement parce que depuis, la validité des tickets avait été abandonnée à cause des tricheries lors du 6e pèlerinage. Deuxièmement, parce qu’il lui été hors de question d’abandonner son chez soi et ses actions. Troisièmement, et surtout pour cette raison, parce qu’elle était condamnée par une tumeur en stade terminale. Et Max refusait de l’utiliser. Elle l’aurait bien revendue s’il avait pus servir. « De toute façon le 7e pèlerinage est partit, il est périmé » avait elle dit en le balançant. Pourtant, elle ne l’avait jamais jeté…
Et puis un jour… un jour Max et Sacha sont allé trop loin. Ils ont gratté trop profond et sont tombés sur une mine. Sacha a décidé de s’inspirer de mon tatouage pour son œuvre. C’était beau très beau… un oiseau s’enflammant au dessus d’une terre desséché mais protégeant une rose qui sortait. Il a eu un tel succès que des personnes mal intentionnées y ont jeté un œil.
Je les ai vu les abattre un soir. J’étais cachée.
Puis j’ai abattue ces hommes à mon tour. D’abord pétrifiée et désemparée. Cette fois, sortit de mon mutisme depuis longtemps je les ai menacés et leur demandant ce qu’ils me voulaient. L’un d’eux sourit tandis que l’autre disait au téléphone « on l’a trouvé ». C’était les dernières paroles qu’il prononçait avant que son cou ne soit tordu de droite à gauche.
Folle de rage, je m’emparais du téléphone et dit d’une voix glaciale « Qui êtes vous ?! Qu’est ce que vous me voulez bordel de merde ! » La voix chercha à être rassurante mais, sous une panique masquée, je décelais qu’elle essayait de me garder en ligne. Calme mais remplie de colère, je coupais la liaison et détruisit l’appareil après avoir ajouté « c’est moi qui vous trouverai ! ».
Chicago – Hope Plaza
Pour la troisième fois je m’enfuie et me dirigeais vers la ville de Chicago, de nouveau. Je me rappelle de la première fois que j’au vu Hope Plaza au loin, baignée de lumière. En fait ce n’étais pas exactement la première fois. Les souvenirs étaient toujours plus nombreux bien que vagues. Avant que Maria ne me découvre sur la route, j’avais déjà vu cette ville. J’avais déjà contemplée Hope Plaza de haut. C’était ma toute première image du monde, me semble t il…du moins de cette vie.
J’étais partie de cette ville apeurée et faible. Je revenais, et j’avais changée ! Max, Sacha et mes amis, m’avaient appris à m’habiller et les mœurs de 2147. Je me suis fondue dans la foule et suis restée dans la rue. Là où personne ne me poserait de réelles questions. Je décrochais un job de serveuse chanteuse dans un bar et cambriolais de temps en temps une ou deux maisons sous les dômes.
Exemple de soirée :
- people Christina
Je revendais les biens pour mes recherches. Cela coûtait une véritable fortune de faire engager un détective. Mais il était marié à une infirmière qui avait a disposition du matériel qui pouvait retracer mes origines. Sans compter le tatoueur avec qui je devins amie. La dernière fois que je l’ai vu, il m’a dit qu’il avait vu ce tatouage quelque part. J’ai eu accès une fois à un ordinateur qui me révéla que ce tatouage était un symbole d’une organisation privée. Nouvelle fuite. J’aurais pus aller voir un psy et me faire hypnotiser ou un autre thérapie du genre pour avoir accès à mes souvenirs, mais ce n’était pas dans mes moyens.
L’autre : Et puis un jour, je l’ai vu. Elle…moi. Moi en double. Colan a pensé qu’elle pouvait être de ma famille, ma jumelle. Sauf qu’elle était célèbre, faisait partie d’Hope Plaza et défendait coûte que coûte Terra Nova. Elle avait un pouvoir qui en gênait certains d’après ce que j’ai crus comprendre et fortement jalousé. Elle faisait partie de ceux qui recrutaient et était en liaison avec Kordsmeier. Pas directement. Mais elle était un maillon de la chaine. L’atteindre allait être dur mais il fallait que j’essaie. Si elle faisait partie de ma famille, elle connaissait mon passé. Mon identité. Curieuse, je n’en gardais pas moins une certaine rancune et une certaine peur. J’avais finit par me dire que si personne ne me recherchait c’était pet être parce qu’ils étaient morts. Si tel n’était pas le cas pourquoi ne m’avait-elle pas signaler ? Avions-nous de bons rapports ? Et si c’était a cause d’elle que j’avais perdue la mémoire et avait été en danger ? Avait elle put vouloir m’éliminer ? Ma rencontre avec la miss fut des plus surprenantes et des plus courtes. Je ne sais pas si elle était surprise parce qu’elle voyait un fantôme ou un double. Mais cette brève rencontre m’apprit qu’elle avait reçus de nombreuses menaces et qu’elle avait finalement finit par accepté de se rendre à Terra Nova pour commencer une nouvelle vie…Pourquoi ? Me suis-je demandée. A-t-elle du sang sur les mains ? Un passé a oublier ? Un étrange pressentiment me disait qu’elle était aussi ignorante que moi mais je ne l’écoutais pas. Actuellement je ne sais toujours pas quoi penser… Elle était morte quand je suis revenue chez elle. Assassinée. Un flic avait été prévenu par des voisins. Un anonyme et me prit comme cible. Affolée je m’enfuie mais me fit prendre. C’est là que ma destinée m’a rattrapée.
Un étrange homme – une organisation secrète : « Tombée au mauvais endroit au mauvais moment hein ? » me dit il. « Qui êtes vous ? » lui répondis je « Pourquoi me défendez vous ? » « Je suis ton supérieur, Katie. » Je fronçais les sourcils et avala ma salive. Il était un fragment de mon passé mais je n’avais aucun souvenir de cet homme. Cette Katie m’était également étrangère. « Je m’appelle Jade » Il sourit d’un sourire étrange. « Bien. Je suppose. Cela doit te paraitre loin… » « Ca ne me parait rien du tout. Je ne vous connais pas. Ni cette Katie » « Moi je te connais pourtant. » « Il semblerait » Il me regardait, intrigué et amusé. J’haussais les épaules « Allez y, racontez moi votre histoire » « Tu es un soldat Katie. Nous t’avons perdue il y a de cela un an. Tu as été gravement blessée au cours d’une mission. » « Comment se fait il que… » « Nous somme une organisation privée et secrète. » Je fronçais les sourcils, repensant à la femme de Chicago. Celle qui commandait de ne pas m’exécuter. A ma familiarité avec les armes. « Ce n’est pas un hasard si tu es une bonne tireuse. Tu es une tueuse Katie » J’hochais négativement la tête. J’avais envie de pleurer. Préférant finalement ne rien savoir de mon passé. « Tu n’as pas une idée d’où peut provenir ce tatouage ? » Je relevais la tête, intriguée. J’avais aussi envie de l’étrangler. C’était eux qui les avaient tués ?! « C’est vous ? » « Un Phoenix oui. Certains de nos hommes s’amusent à faire cela. » « Je devais être sacrément défoncée » murmurais-je « Pardon ? » « Rien. » Il m’observait comme s’il avait retrouvé son jouet favori, ou une pièce inédite de sa collection. « Qu’est ce qu’il m’est arrivé ? » « Nous espérions que vous nous le diriez. C’était une mission importante » « Eh bien c’est raté. Je me souviens à peine de mon identité. » « Sur ce point nous pouvons t’ aider » « Qu’est ce que vous attendez ? » « Ce n’est pas aussi simple. Tu as déjà été amnésique lors de ton arrivée chez nous. » « Quoi ?! Qu’est ce que c’est que cette magouille ? » « C’est la raison de ton recrutement Katie. » « Jade ! » le coupais je « Jade si tu veux. » La suite vous la devinez. Il m’expliqua ce qu’était cette organisation mais je n’eus plus de détails sur la raison de la mort de mes parents adoptifs. Il me certifia simplement que ce n’était pas eux. Ma sœur, comme il disait, avait de nombreux ennemis. De nombreux détails me faisaient douter de cet homme, comme le fait qu’il ait su aussi facilement que cette femme était ma jumelle et non un possible sosie. Mais quelle autre explication avais je hormis le fait qu’il me cachait des choses et qu’il en savait plus sur mon passé qu’il ne voulait me le faire croire. Il savait aussi que c’était ce qui me rattachait à eux. Nous avons donc passé un accord. Il me libérait et je travaillais pour eux, en échange de quoi, il me donnait des informations sur mon identité. Dans cette organisation, je ne trouvais aucune connaissance. Sans doute n’avais je déjà pas d’amis.
Terra Nova – 8e pèlerinage : Et puis un jour, mes employeurs comme je les appelais maintenant, eurent besoin de moi. Il eut une dispute entre eux, les uns voulant que je remplace ma jumelle et aider les Sixers et un certain Lucas Kordsmeier depuis 2147 ; les autres pensant que j’avais plus ma place sur le terrain et que je ne servais à rien si les Sixers manquaient d’hommes. Ces derniers ont finalement eu le dernier mot…ce que je trouvais crétin, mais bon. J’imagine que prendre la place de ma jumelle était plus compliqué et sans doute plus risqué. Au moins j’aurai pus peut être avoir accès à des infos sur mon passé sans passer par eux… J’eus donc l’ordre de m’introduire dans l’émeute, qu’ils avaient discrètement déclenchée, pour passer clandestinement le portail lors de ce qui serait le 8e pèlerinage.
Arrivée en je ne sais combien d’années avant JC, je me mis au travail et me retournais contre les hommes de Kordsmeier, avant de m’enfuir. Je passais quelques jours dans la jungle, m’habituant à l’air et surtout à cette terre nouvelle. La végétation, et les animaux étaient pour moi des choses vraiment inédites. Je me surprise à rire, pour la première fois depuis Noel, lorsqu’il se mit à pleuvoir.
Mais la nuit, je dormais difficilement. La peur des carnivores n’étaient rien fassent à ses cauchemars. De temps en temps, je tremblais sans pouvoir le contrôler. Mais c’était rare…très rare.
Les Sixers – 2147-2149 Au bout d’une semaine, je trouvais finalement le camp des Sixers, par hasard, il faut l’avouer. Et on ne peut pas dire que le comité d’accueil était paré de fleur. Ils m’avaient pris pour une cible ennemie. Mon fameux tatouage ne les aida pas plus. Traitée comme une ennemie pendant quelques jours, cherchant à m’extirper des informations sur le commandant Kordsmeier, je pense leur avoir plus soutiré des informations sur ce fameux commandant et Terra Nova qu’eux n’en n’ont apprit sur moi. Malgré mon mépris pour eux, je ne perdais jamais de vue que c’était en restant avec eux que je saurais qui je suis. Lorsqu’ils apprirent que j’étais de leurs côtés, ils s’excusèrent à peine. Je n’étais pas spécialement orgueilleuse. Et ils étaient désormais mes chefs, un point c’est tout. On va dire que c’était un entrainement. Un bizutage en quelque sorte. Et puis j’avais connus pire lorsque j’étais arrivée dans cette organisation. J’aurais connu pire, j’imagine, à Terra Nova.
Je ne me suis pas rebellée. Je n’ai pas joué à me montrer coriace. C’est à peine si je me défendais. Une fois seulement, quand l’un d’eux me collait trop, je lui ai flanqué un coup tel qu’il s’en rappellerait jusqu’à la fin de ses jours. Le nez brisé et les boyaux liquéfiés, il est partit sous les rires de ses camarades, humilié par une femme qui lui semblait frêle et fragile. J’étais un élément calme mais obéissant. Je n’étais pas exemplaire et parfaite, mais on ne peut pas dire que j’étais mauvaise. Dans la moyenne quoi et discrète. Mon apprentissage pour dans les arts a fait de moi un très bon éclaireur. Et comme me l’avait dit mon employeur, j’étais une excellente tireuse…
Ma capacité à être douce et a abattre une personne froidement à imposé le respect de mes collègues petit à petit, m’intégrant comme l’une des leurs. J’avais toujours des ennemis comme tout le monde, et on peut plus parler d’attachement que d’amis. J’ai toujours eu du mal à m’attacher étant donner que je ne savais pas qui j’étais. Mais petit à petit, je me suis sentie de mieux en mieux. Mes employeurs m’avait fait un fichier...même faux. Je n’étais pas sortie de nulle part. Je m’appelais Jade Sulliman, j’avais été dans l’armée et je faisais désormais partie des Sixers. J’avais un passé, un groupe d’attache et un but. Parfois je repensais à Sacha en regardant la Nature et j’étais nostalgique. Mais j’avais un but et cela seul comptait. Quant au commandant Kordsmeier, à son fils qui apparemment tenait nos rennes, et à Terra Nova, je n’en avais pas grand-chose à faire. Ils étaient seulement reliés à mes employeurs, lesquels détenaient les clés de mon passé…
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Dernière édition par Jade Sulliman le Ven 21 Déc - 10:23, édité 7 fois |
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| Sujet: Re: Jade Sulliman... Johnette Doe Dim 16 Déc - 16:33 | |
| Bienvenue ! Enfin un autre rebelle sur le forum ! *p* |
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| Sujet: Re: Jade Sulliman... Johnette Doe Dim 16 Déc - 18:24 | |
| merci, c'est vrai qu'il y en a pas des masses d’après ce que j'ai vu. :/ |
| | | POWERFUL ADMIN ϟ The God of Terra Nova
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| Sujet: Re: Jade Sulliman... Johnette Doe Ven 21 Déc - 8:54 | |
| Hellooooo ! Bienvenue sur le forum ! *O* Je profite pour te demander si tu as fini ta fiche ? xD *Sort* En tout cas, elle est vraiment chou ton personnage- *o* Enfin bon choix d'actrice. <3 |
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| Sujet: Re: Jade Sulliman... Johnette Doe Ven 21 Déc - 10:22 | |
| Hello. Merci bcp ^^. J'aime beaucoup la tienne aussi ( surtout dans le film blanche neige & le chasseur *.*). Oui j'ai finis j'ai oublié de le marquer. Par contre j'ai du mal faire quelque chose parce que les points faibles n'apparaissent pas. Quand j'édite ils y sont pourtant -_-'.
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OCCUPATION : employé au service botanique
| Sujet: Re: Jade Sulliman... Johnette Doe Ven 21 Déc - 16:08 | |
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| Sujet: Re: Jade Sulliman... Johnette Doe Ven 21 Déc - 18:19 | |
| merci |
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| Sujet: Re: Jade Sulliman... Johnette Doe Ven 21 Déc - 20:29 | |
| On essaye de s'occuper de ta fiche au plus vite LIZZIE je t'aime , je t'aime , je t'aime Que je l'aime , que je l'aime , que je l'aime Elle est trop jolie je trouve et puis voilà Par contre ton avatar est pas à la bonne taille , il doit être de la taille 200x320 Bienvenue en tout cas |
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| Sujet: Re: Jade Sulliman... Johnette Doe Ven 21 Déc - 20:49 | |
| merci . Elle est pas mal la petite famille Olsen. Elles pourraient presque faire Charmed à leur manière ^^. Pour l'image, je comprends pas o.o. J'ai changés les dimensions mais ca bouge pas -_- |
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| Sujet: Re: Jade Sulliman... Johnette Doe Ven 21 Déc - 21:28 | |
| J'aime pas trop les jumelles en fait mais Lizzie je lui voue quasi un culte Enfin bref je pense pas que ça vienne de l'image elle-même tu fais bien : Profil => avatar => lier l'Avatar à partir d'un autre site et que tu colles dedans l'url de ton avatar ? |
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| Sujet: Re: Jade Sulliman... Johnette Doe Ven 21 Déc - 21:40 | |
| ah ok . Oui oui. Je comprend pas l'image était de dimension 200x320 pile poile en plus *.* ( je l'ai fais à partir de l'Url et de mon ordi pr voir ...même résultat ) |
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| Sujet: Re: Jade Sulliman... Johnette Doe Sam 22 Déc - 22:15 | |
| Tu m'autorises à essayer ? oô
J'ai lu ton histoire et tout me semble bon par contre il manque le code du règlement aussi ♥ |
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| Sujet: Re: Jade Sulliman... Johnette Doe Sam 22 Déc - 22:42 | |
| ok. oui pas de problème. Je t’en prie. Mais le code, j'ai re-regarder le règlement mais il m'a loupé... *pas ouée -_-'* |
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| Sujet: Re: Jade Sulliman... Johnette Doe Sam 22 Déc - 22:56 | |
| Ah ben je viens d'essayer et ça marche chez moi... xD Tu l'as trouvé où ton avatar ? Et pour le code si tu cherches bien tu finiras bien par trouver je pense , persiste |
| | | POWERFUL ADMIN ϟ The God of Terra Nova
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OCCUPATION : Professeur de français, histoire de Terra Nova
| Sujet: Re: Jade Sulliman... Johnette Doe Dim 23 Déc - 13:28 | |
| Bienvenue à toi Très belle fichounette ! |
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| Sujet: Re: Jade Sulliman... Johnette Doe Dim 23 Déc - 13:44 | |
| merci |
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| Sujet: Re: Jade Sulliman... Johnette Doe Lun 7 Jan - 20:10 | |
| Désolée pour l'attente. Joli histoire et originale. ^^ Bienvenue sur Terra Nova ! Dossier de recrutement accordé Félicitations ! Ton dossier a été accepté et tu fais désormais partie du prochain pèlerinage vers Terra Nova, la nouvelle terre promise. Tu peux désormais intégrer la section des...
FIGHT & REBELLION Afin de te recenser correctement dans ce nouveau monde, je te conseille d'aller faire un tour dans le bottin des avatars pour apporter ta pièce d’identité afin d’éviter toute imposture. Ensuite, tu peux t'inscrire dans le registre des pèlerinages pour indiquer auquel tu as participé.
Une fois bien recensé, tu peux t'installer dans la colonie. En étant sur Terra Nova, tu es forcement affecté à une activité, viens donc indiquer ton travail dans le registre des métiers. Nous te proposons aussi d'avoir un petit chez toi, un joli bungalow pour toi et ta famille. Choisis donc ton quartier et fais nous part de ta décision dans le registre des logements. déjà
Dans la petite communauté que constitue Terra Nova, mieux vaut être bien entouré pour faire face aux dangers. Je te conseille donc d'aller créer des liens avec les autres habitants, dans la section des demandes de liens. Tu pourra par la suite, discuter avec eux dans les vastes étendues du continent originel, grâce aux demandes de RP's. On sait tous qu'il y a des traîtres qui pactisent avec l'ennemi, des gens égarés dans la jungle, et il n'est pas toujours facile de leur parler. C'est pourquoi, chez nous, il est possible de discuter par lettres. Une correspondance, non pas avec des pigeons, mais avec des libellules. Pour correspondre, tu peux donc utiliser le Dragonfly Express.
Les personnes arrivées sur cette nouvelle terre, possèdent parfois un passé douloureux, cherchant ici une seconde chance de se remettre sur le droit chemin. Chacun a sa propre histoire et a subi différents drames dans le monde que nous avons laissé derrière nous. Il est difficile de se confier parfois, alors pourquoi ne pas l’écrire ? Tu peux ouvrir ta fiche d’évolution, pour expliquer ton histoire.
Amuses toi bien sur Terra Nova, mais fais attention à toi...
Le Staff de TERRA NOVA. (c) Code par Beylin
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| Sujet: Re: Jade Sulliman... Johnette Doe | |
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| | | | Jade Sulliman... Johnette Doe | |
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