Oh Vergers ! Rempli de liberté ? Un paradis sans danger à l’intérieur de la colonie, la jeune femme avait décidée de faire une pause et de respirer une bouchée de cette air. Elle s’assit contre un arbre, pour laisser ses yeux regardaient les branches des arbres bougeait avec un léger vent qui avait commencer de pousser. La jeune femme sentait le vent lui caresser la peau, bouger sa tunique et transpercer son leggings. La jeune femme était très contente de sa journée. Le bar avait bien été rempli. Les gens avaient passé un bon moment au bar avant de retourner au travail. La jeune femme savait que les traitements des arbres avaient déjà été fait. Les feuilles semblèrent danser. Le soleil rayonnait de bonheur. La jeune femme marmonnait une mélodie de chanson entraînante qu’elle avait dans la tête ? Son bar l’avait rendu stupide ? Non, au contraire, elle se lâchait. Kara profitait de la vie. Le mot « vivre » signifiait beaucoup de chose pour elle. Quoi ? La vie était trop courte pour s’occuper des détails superflus comme les crises existentiels, la tristesse et la colère. Pourquoi ne pouvait-on pas être simple ? Simplement vivre, sans essayer de mentir à qui ce soit ? Ses pensées s’arrêtèrent pour se traiter elle même de menteuse. La jeune femme était la championne dans ce domaine. Elle cachait ses affaires de commerces douteuse et elle se mentait à elle-même, sur ses sentiments. La jeune femme se prit d’une impulsion pour lever les bras et tourner sur elle-même en dansant. La nymphe se lacha un moment pour profiter un peu de la vie. Une piqure de rappel était imposée. Kara derrière son bar était toujours disponible, à l’écoute. Elle s’étouffait elle-même. Ses pensées étaient centrée sur son travail ? Et elle à la fin ? Ses murmures devint un chant. Elle chantait à pleine voix se fichant que quelqu’un puisse entendre.

« Laisse ce qui te retient délaisse ce qui t’appartient. Détache le lien qui lentement se resserre car cette vie t’indiffère. Et ne te ressemble en rien. Ces rêves ne sont pas les tiens. Si tu restes, tu vas manquer d’aire. Il suffit de ! »

La jeune femme simula un coup de guitare en reculant légèrement avant de se rendre compte que quelqu’un était tout simplement présent et la regarder depuis un petit moment ? La jeune femme mis sa main sur son visage pour enlever l’halo de lumière qui rendait son visage inconnu. La jeune femme cligna des yeux plusieurs fois pour régler la luminosité, quand elle découvrit son ancien coéquipier de service, Teeran E.Wells. Il avait toujours été très proche. Il se connaissait. Il avait déjà assister à plusieurs petit pétage de plomb, comme quoi les habitudes ne changent pas. Un sourire se dessina aussitôt sur son visage pour l’accueillir.

« Désolée de t’avoir infligé ça. Tu n’es pas en patrouille aujourd’hui ? »

Son regard le détailla pour finalement rencontrer sans regard et ne pas le lâcher. C’était rare qu’il se retrouve à parler. Ils étaient la plus part du temps dans leur coin : elle, au bar, et lui, sur le terrain. Elle se rappelait aussi de leur parfait désaccord sur la bêtise qu’elle faisait en lâchant son ancien poste, pour reprendre un bar miteux, qui était maintenant accueillant, super et raffinée. Enfin on enlève le dernier mot. Kara avait voulu faire quelque chose qui l’aiderait à oublier ses problèmes et elle avait finalement trouver. C’était de corriger et d’essayer de corriger ceux des autres. Elle pensait toujours au autres. Ses problèmes et ses pensées, elle les avait laissé dans un carton. Une belle image hein ? Jute pour lui faire plaisir, vous avez le droit. Elle s’approcha de Teeran avec une distance raisonnable. Peut-être qu’il était temps de baisser le drapeau blanc ? Même s’il était pas en guerre. Il y avait eu beaucoup de distance depuis son départ.

« Alors le commandant te donne du bon boulot ? Je manque pas trop à ces raptors rassures moi. »